Biographie
L'écrivain Hasan Tufan est connu du peuple Tatar, puisqu'il composé dans cette langue. Après la mort, l'homme a laissé une grande bibliographie, que les enfants étudient actuellement dans les écoles. Au cours de sa vie, il a reçu le titre de la figure des gens et est devenu un lauréat du prix de l'État de Tatarstan nommé d'après Gabdulla Tuquet, bien qu'il soit un homme humble, timide et calme. Mais l'homme portait un nom de famille fort et sonore, traduit par "ouragan" ou "typhon".Enfance et jeunesse
Hasan est né à Tatarstan, dans le village d'Old Kirimet, à l'hiver 1900, sa nationalité précise est inconnue. Il n'y avait pas d'institutions éducatives là-bas et donc le premier enseignant de la biographie du garçon était son père qui a enseigné à son fils à lire et à écrire. Quand l'école s'est ouverte dans le village, il est allé apprendre là-bas.
Pseudonyme Tufan Poète a pris l'âge adulte. Dans les années d'enfants et de jeunesse, il portait le nom Gulzizin, qui, pour que le peuple Tatar semble inhabituel. Elle l'a eu de sa mère. L'écrivain lui-même a lui-même expliqué ce fait par le fait que son genre a eu lieu des paysans en fuite qui passa le rite du baptême et étaient considérés comme des chrétiens. Mais comme ils ne sont pas allés se marier et n'ont pas baptisé les enfants, selon les lois de l'Église, ils étaient considérés comme illégitimes et privés de droits. De tels bébés s'appelaient «Nés de Bluda», et les noms ont été donnés au nom de la mère. C'est donc arrivé dans sa famille.
Démarrage a commencé à travailler tôt: à l'âge de 14 ans se rendit avec des frères vers les Urals, où elle a travaillé sur des mines de cuivre. Et quand il est retourné dans sa patrie, installée sur la plante métallurgique. Ensuite, il a décidé d'apprendre davantage, entra dans l'Ufa Madrasa "Galia", qui, dans l'avenir, a joué un rôle important dans sa vie. Là, il a commencé à connaître le jeune écrivain Shayhzad Babich et a commencé à rendre visite à son cercle littéraire et de musique. Entre autres, il est également devenu Sagyt Sunchalya, Muts Gafuri et Sagit Raimev. Le professeur Galimjan Ibrahimov avait également une importance pour lui.
Vie privée
Tuffan a réussi à construire une vie personnelle heureuse. Être un homme modeste et timide (on peut le voir sur sa photo, où un homme a l'air restreint et réfléchi), il a réussi à se familiariser avec Louise Saliaskarova, qui est devenu sa femme. Elle a donné à son mari deux enfants - la fille de Gulgin et le fils d'Igoa (il est mort tôt de la maladie).Louise est devenue une muse pour Hasan dans la créativité et le soutien dans des moments difficiles de la vie. Lorsque l'écrivain a été envoyé au lien, sa femme a été expulsée de travail, privant de l'argent et des cartes pour les produits. À cette époque, dans de nombreuses écoles de Kazan, les hôpitaux travaillaient, où les blessés ont été apportés. Ils avaient besoin de beaucoup de sang pour la transfusion et ceux qui sont venus le transmettre, ont payé les produits pour restaurer le corps. Malgré le besoin, la femme les a envoyées à son mari, réalisant comment il était difficile. En tant que prisonnier, il devait remplir le travail le plus lourd et nocif. Et quand après la maladie, le tuffane ne pouvait pas effectuer la norme, les Las ont été rétrécissées de moitié, ce qui ne donnait qu'un petit morceau de pain le jour.
Chaque nouveau jour passé dans le camp a rendu encore plus mince. Un homme a perdu le désir de vivre, a cessé de vivre au moins certaines émotions, à l'exception de la fatigue mortelle. Et bientôt Hasan a commencé à remarquer ce qui serait pleinement. Seulement c'était un gonflement affamé qui ne faisait rien de bon. Une fois qu'il a été appelé au commandant du camp - aucune bonne émotions à cette occasion n'a pas fait l'expérience du poète. Par conséquent, quand une personne en forme tendit le transfert de sa femme, il n'y avait pas de limite à l'étonnement du prisonnier. Maintenant, il pouvait si un peu coulé.
Malgré son énorme amour, le conjoint n'a pas attendu Hasan: Elle est morte avant son retour dans son pays natal Kazan.
Livres
Carrière Tuphan au tout début était loin d'être littéraire. De 18 à 28 ans, il a travaillé comme enseignant dans les écoles de Kazan, d'Ural et de Sibérie, puis de 2 ans de vie consacrées aux voyages et à l'étude de l'Asie centrale et de la Transcaucasie. Pour la première fois, la poésie de Hasan est venue imprimer en 1924 et, après quelques années, des lecteurs, des écrivains et des critiques ont commencé à parler de son travail. La raison en était que les sujets de poèmes, qui ont parlé de la classe ouvrière, de la lutte et du travail acharné. Au cours de la période de 1920 à 1930, de sous sa plume, ces œuvres telles que "Bibiyev", "Sketches d'Ural" et "entre deux époques" sont sorties, incluse par la suite dans la fondation d'or des auteurs de poésie de Tatarstan.
En 1930, Tufan a reçu la position de l'éditeur de la Société de radiodiffusion Tatar et, en même temps, une nouvelle période a commencé dans la vie créative de l'art. Il décide de passer de l'épopée aux paroles, par la suite, ses poèmes de ces années sont devenus des chansons populaires populaires qui ressemblaient souvent à la population de Tatar pendant les festivités et les vacances.
La créativité de Hassan aimait les gens, mais pas seulement à la direction de l'Union soviétique. Après avoir travaillé pendant quelques années de secrétaire responsable de la revue "Littérature soviétique", en 1940, il est tombé sous la répression, a été arrêté et envoyé à la prison de Kazan. Le tribunal a statué - tirer dessus, mais après un certain temps, la peine a été changée pendant 10 ans de prison. L'homme a été envoyé au lien vers le village de la région de Pokrovka Novossibirsk. Dans le même temps, le Toff n'a pas été tombé par l'Esprit et même dans les conditions difficiles de la vie n'a pas quitté la créativité. Les œuvres de l'auteur créées pendant et après la guerre sont remplies de sens profond et philosophique, ils différaient dans la maturité de la pensée poétique.
Retour à Native Kazan Tuffane Chance Seulement en 1956, après la mort de Joseph Stalin. Au cours de ces années, sa poésie a atteint de nouveaux sommets, elle avait une analyse sociale approfondie et a souvent soulevé les thèmes des problèmes qui sont importants à cette époque. En 1964, l'auteur a publié un livre. C'était une collection de poèmes "œuvres sélectionnées", pour lesquelles dans 2 ans, Hassan a décerné le prix Gabdulla Tuka.
Décès
La vie du poète a été coupée à l'été 1981, la cause de la mort est inconnue. Sa tombe est située à Kazan au cimetière Tatar. À la mémoire de Hasane, son nom s'appelait Avenue à Naberezhnye Chelny.Bibliographie
- "Ural Esquisses"
- "Entre deux époques"
- Bibiyev
- "Qu'est-ce que les gouttes parlent?"
- "Au nom de l'amour"
- "Nouvelles inconnues"
- "Dans son ridicule"
- "Bloody True"
- "Swing de camomille dans le vent"
- "Fidélité, versée par le sang"